Acte VII : Quand les sentiments se dévoilent aux flammes

Je me réveille avec un léger mal de tête, rien de bien étonnant en tenant compte qu’hier a eu lieu ma réunion de famille et que, comme chaque année, nous sommes tellement contents de nous retrouver que nous abusons des plaisirs gourmands ensemble. En plus de ça, je suis épicurienne depuis toujours, la soirée ne pouvait donc se finir que comme ça. J’ai énormément pensé à toi, à la nuit, puis à la partie de la journée que nous avons passée ensemble et j’aurais voulu que tu sois là pour pouvoir continuer à ressentir cette chaleur qui naît dans mon bas-ventre chaque fois que tu es avec moi, la tendresse que tu m’inspires juste en tenant ma main, ton rire, l’envie pour la vie que tu me transmets, toi tout entier. Je vais à la cuisine, je me sers un grand verre d’eau en me disant que plus jamais je vais boire de l’alcool de ma vie, mais aussi qu’il est grand temps que j’accepte que j’aie de réels sentiments pour toi, que c’est très loin de n’être que du « plaisir pour le plaisir ». Le sexe pour le plaisir peut être bon, même très bon si nous sommes compatibles et doués, mais le plaisir qui découle du mélange de sexe et de sentiments n’a point de comparaison. Je suis en train de me préparer un café quand tu m’appelles. Tu me racontes être juste rentré de ton entraînement de hockey sur glace, je te raconte ma soirée en famille et nous n’arrêtons pas de rigoler. Je te charrie sur ton âge alors que tu es plus âgé que moi de seulement 4 ans. Tu me charries sur le fait que je t’ai écrit plusieurs messages alors que j’avais déjà bu quelques verres et que je ne me rappelle pas chaque détail de ce que je t’ai écrit. Tu me demandes ce que j’ai prévu de faire de ma journée et je te réponds que je vais passer une journée chez moi, tranquille. Tu me dis que toi tu vas faire pareil, car tu es bien fatigué. On s’envoie tout plein de bisous et on raccroche après avoir convenu de s’écrire plus tard. Je vais sur notre conversation WhatsApp et je commence à lire nos échanges de la veille où je découvre, par exemple, que je t’ai dit que toi aussi tu étais important pour moi, que tu me manquais, que je crevais d’envie de toi. Il y a une réponse de toi à toutes ces déclarations, mais maintenant ça dit « ce message a été supprimé ». Ça ne devait pas être mauvais, car je t’ai répondu avec plein de petits cœurs. Je me sens toute penaude. Je prends une douche pour essayer d’éclaircir mes pensées, me savonne et sens l’odeur de noix de coco envahir la pièce. Je mets une nuisette vert émeraude que j’ai achetée il n’y a pas si longtemps pour passer ma journée tranquille à la maison. Je m’assois au salon, sur le fauteuil, en face de la tv et prends un livre que j’ai commencé il y a quelques jours. Ça fait cinq minutes que j’essaie de me concentrer sur cette lecture fort intéressante mais je continue à penser à cet échange de messages et à toi. Je prends mon téléphone et te fais un appel vidéo sans même te prévenir, car j’ai vraiment envie de revoir tes yeux, ton sourire et ton joli visage qui est juste parfait pour moi. Peut-être qu’en te parlant de cette façon, je saurais ce que tu as bien pu répondre à toutes ces choses que je t’ai dites hier soir. Tu réponds au bout de la deuxième sonnerie. Tu es dans ton salon regardant un film d’action dont je n’avais jamais entendu parler, habillé avec un pantacourt gris et torse nu. Dès que je te vois, je suis un peu intimidée sans le vouloir car tu me plais beaucoup et tu en rigoles gentiment. Je te dis que j’ai lu les messages que nous avions échangés et que je voudrais savoir ce que tu as effacé. Ton visage devient soudain sérieux et tu allais commencer à parler quand ton regard s’est perdu dans le haut de ma nuisette. Tu me demandes d’un ton coquin si je porte bien une nuisette et je te dis que oui. Tu me demandes de te la montrer, alors je vais vers l’entrée pour filmer le miroir de plein pied afin que tu puisses la voir. Tu me dis qu’elle est très jolie, mais que tu la préférerais par terre. Tu me montres un bol posé sur la table à coté de toi dans lequel il y a de la glace à la vanille. Tu poses ton téléphone devant toi et tu en manges. Pendant que je te vois lécher la cuillère, mes idées défilent à toute vitesse, mon envie de toi grandit au point de vouloir être cette cuillère. Tu me dis que tu as écrit plein de choses la veille, mais que tu préfères en parler la prochaine fois que l’on se verra. Je te dis que ça me convient et je t’explique que je vais te laisser tranquillement finir de manger ta glace et voir ton film parce que j’ai trop envie d’avancer dans la lecture de mon livre. Tu me tires la langue, puis tu me fais des bisous et je fais pareil. On raccroche puis, via Uber, je demande une voiture, car oui j’ai trop envie mais de toi et j’enfile un manteau sur la nuisette, mets des escarpins noirs à semelle rouge et me maquille juste un peu, histoire de cacher un peu la nuit pas tout à fait reposante que j’avais passée due à l’alcool. Je prends mon sac et descends. La voiture m’attendait. On en a pour un peu moins d’une heure jusqu’à chez toi. En chemin, je demande au chauffeur de s’arrêter, histoire que je puisse m’acheter à boire car j’ai complètement oublié de prendre une bouteille d’eau de chez moi et je meurs de soif. Il s’arrête alors devant un magasin dans lequel j’ai pu en acheter une bien fraîche et, en sortant, j’ai vu une dame qui vendait des boîtes de fraises au chocolat. J’en ai alors acheté une que j’ai mise dans mon sac. 48 minutes plus tard, je suis arrivée chez toi, j’ai payé le chauffeur et suis montée dans l’ascenseur de ton immeuble en essayant de me rappeler l’étage où se trouvait ton appartement.

Arrivée devant ta porte, j’ai sonné et tu as ouvert, l’air surpris et content de me trouver là, devant toi. Tu as posé ton regard sur moi et sans avoir dit un seul mot, nous savions tous les deux ce qui allait suivre. Tu m’as pris dans tes bras, puis plaquée les seins contre le mur et immédiatement j’ai senti ta respiration chaude sur ma nuque et ton érection naissante contre mon cul. Je t’entends dire doucement derrière moi : « Mais quelle belle surprise ! »
Je te réponds : « Je t’avais promis qu’on se retrouverai très vite et j’aime tenir mes promesses… »
On en rigole mais la tension entre nous était à son apogée. Tu ne pouvais pas imaginer à quel point le fait de savoir que tu voulais me prendre et pas seulement une mais plusieurs fois, me faisait mouiller. Instinctivement, j’ai essayé de me retourner pour te faire face mais tu ne m’as pas laissé faire. Tu avais ton corps collé au mien et tu voulais avoir le contrôle total de la situation, même si tout ce que je souhaitais à cet instant était de sentir tes lèvres contre les miennes, de mordre ta lèvre inférieure et glisser ma langue dans ta bouche. Je suis arrivée à décoller ton corps chaud du mien et à me retourner, ton visage faisait face au mien, même si tu es plus grand que moi. Tu souriais malicieusement. Je n’avais aucun doute quant au fait que tu avais en tête quelque chose de très sale, mais en même temps de très très bon. Tu as pris ma main et tu l’as mise sur ton érection, j’ai appuyé ma main contre ton sexe pour bien le sentir et sans que tu t’y attendes, j’ai un peu baissé ton pantcourt, libérant ton pénis et j’ai entamé de douces caresses. J’ai un peu ouvert mon manteau et tu as découvert ma nuisette de tout à l’heure. Tu as entièrement retiré mon manteau et tu as parcouru mon corps avec tes mains. Je me suis baissée et j’ai commencé à te masturber pendant que je te regardais complètement en extase. Tu ne peux pas imaginer à quel point j’adore quand tu fermes les yeux et que tu jettes ta tête en arrière. Je me suis rendue compte que ça te plaisait beaucoup quand j’ai senti ma main un peu mouillée alors j’ai immédiatement mis ton sexe dans ma bouche et je l’ai sucé avec tant d’envie que tu as ouvert les yeux un bref instant. Je t’ai entendu dire « hummmmm », et je continuais à sucer ma sucette préférée avec envie et délectation.
Je rêve de voir enfin tout ton corps nu. Je fini par te déposséder de ce pantacourt et du boxer alors que tu mets un doigt dans ma bouche et me regardes droit dans les yeux. Même si je sais que tu veux que je le suce, je te surprends et le mords parce que je ne veux plus jouer. Je veux que l’on passe aux choses sérieuses, je veux que tu me possèdes une fois encore et que tu me fasses crier. Tu m’enlèves cette nuisette décolletée que tu voulais voir par terre depuis que je te l’ai montrée tout à l’heure. Tu manques de tomber quand tu me fais aller à reculons pour arriver jusqu’au canapé dans ton salon. Tu me dis que c’est ça l’effet que j’ai sur toi : Je te fais devenir gauche. J’ajoute que c’est vrai, mais qu’en plus je te fais devenir très dur. Tu mets un doigt sur ma bouche pour me faire taire car tu ne veux pas entendre ma voix mais uniquement mes gémissements, ceux que seulement toi fait sortir de mes profondeurs. Tu fais un pas en arrière pour me regarder en sous-vêtements. Ces derniers sont assortis avec la nuisette qui jonche le sol. Je sais que tu aimes ce que tu vois car tu passes ta langue sur tes lèvres. Mais en un claquement de doigts, tu enlèves mon string. Je ne m’y attendais pas mais j’adore que tu sois joueur. Je te regarde et pense que si tu veux jouer, nous allons jouer… J’ai moi-même enlevé mon soutien-gorge et je l’ai jeté à côté de toi. Tu avais l’air satisfait que je prenne cette initiative et je t’ai vu descendre jusqu’à mon entrejambe avec détermination. Tu m’as embrassée et léchée à proximité de mon sexe en l’effleurant, continuant à me faire languir de cette manière jusqu’à ce que j’ai eu mal tellement je te désirais. Sans me rendre compte des conséquences, j’ai mis une main sur tes cheveux en t’obligeant à me lécher. Je voulais sentir ta langue contre mes lèvres inférieures et mon clitoris. Je voulais que tu me rendes folle, de cette manière que seulement toi, tu sais faire. Pendant un bon moment, tu es docile et tu me manges avec envie. Ma respiration s’accélère, mes gémissements se font de plus en plus forts et au moment où j’allais enfin avoir un orgasme, tu t’es arrêté. Il m’a fallu quelques secondes pour comprendre que tu n’allais pas recommencer. A ma grande surprise, tu m’avais retournée laissant mon cul face à toi, à ta guise et je ne savais pas du tout ce qui se passait dans ta tête, ni ce que serait ton prochain mouvement. J’étais très excitée. J’aime avoir le contrôle mais j’aime encore plus le perdre avec toi. Après tout, ce n’est pas pour rien que tu es la personne la plus douce et perverse que je connaisse. Tu me fais penser à moi et j’aime ça. Avec tes deux mains, tu as caressé mes fesses doucement, puis, ensuite, tu m’as fessée suffisamment fort pour que chaque fois que ta main touchait ma peau, je laisse échapper un petit cri de plaisir. Je ressentais la luxure parcourir chaque centimètre de mon corps et voulais sentir ta bouche sur mes seins mais, malgré cette envie dévorante, je n’ai pas bougé. Je suis restée couchée là pour que tu puisses faire de moi ce que tu voulais. Tu as approché de moi ton corps nu et j’ai senti ton érection ainsi que ton odeur naturelle, deux choses chez toi qui me rendent folle.

Tu t’es mis à côté de moi, on s’est embrassés fougueusement, ta main tenait la mienne, on aurait presque pu croire que c’était innocent si seulement nous n’avions pas été nus. Tu m’as dit que ce que tu avais écrit dans le message de la veille était que tu avais de plus en plus de sentiments pour moi, que tout était tellement naturel entre nous que tu n’avais pas envie de gâcher les choses. Là, j’ai mis un doigt sur tes lèvres pour t’empêcher de continuer et je t’ai dit que quand tout ça est réciproque, on ne peut rien gâcher et ça rend chaque moment qu’on vit encore plus incroyable. On s’est embrassés, tu as mis ta main droite sur mon sein le plus proche et j’ai esquissé un sourire coquin car je me demande comment tu fais pour savoir ce que je veux. Tu as pincé mon téton entre tes doigts, l’as rendu dur, léché goulûment et je t’ai surpris à regarder avec attention l’effet que cela me faisait. Je me suis approchée de ton visage car je voulais te rendre fou et j’avais noté que ce sont ton cou et tes oreilles tes points faibles. J’ai mordillé ton oreille gauche et passé ma langue sur ton cou. Je t’ai vu t’abandonner au plaisir et ça m’a excitée encore plus. Je t’ai regardé droit dans les yeux car je voulais que tu puisses apercevoir tout le désir que j’éprouve pour toi. Tu m’as prise par la taille avec fermeté, mise sur toi, mes hanches ont commencé à bouger d’elles-mêmes et j’ai ressenti comment ton corps et le mien ne faisaient plus qu’un. Tu m’as tiré les cheveux en arrière parce que tu voulais me regarder possédée par toi. J’ai ouvert la bouche, voulant dire ton nom mais il n’y a que des gémissements qui sont sortis de moi. J’ai ressenti mon orgasme arriver soudainement mais PUTAIN ! je ne le voulais pas aussi vite. Tu ne peux pas imaginer à quel point je désirais que cette danse dure une éternité, parce que je doute que tu aies idée à quel point tu procures en moi une infinité d’émotions et de sensations avec le seul fait de toucher ma peau. Je t’ai entendu gémir férocement à ton tour, tu as serré tes mains sur mes hanches et tu t’es laissé abandonner au plaisir. Je ne sais pas lequel des deux a crié le plus fort, mais je suis certaine que tes voisins nous détestent. Tout ton sperme s’est répandu en moi et j’étais plus que ravie que nous ayons atteint le nirvana ensemble. Je me suis un peu écartée de toi, le liquide qui était en moi a commencé à se répandre sur toi. J’ai pris mon index et je l’ai enduit de nos fluides, puis je te l’ai fait lécher avant de le mettre dans ma bouche et de t’embrasser. Tu me regardes avec tendresse, caresses mon visage et tu me dis : « Tu es une coquine toi, MA coquine. ». Je te dis qu’au lit, avec toi, je n’ai pas envie d’être ta coquine, mais ta pute. Tu répètes, incrédule : « ma pute… ? »  et je te sens redevenir dur en quelques secondes. Tu me bascules alors que j’étais sur toi et c’est toi qui viens sur moi et prends le contrôle, me tenant les mains et disant avec un énorme sourire : « ma pute, oh oui, j’ai trop envie que tu sois MA pute ! ». Tu sais que je ne peux pas bouger et tu commences à me caresser puis à me chatouiller doucement. Tu me vois réagir et je vois ton sourire se dessiner, sentant ton sexe tellement dur que j’ai envie de le mettre dans ma bouche encore et encore. Tu me demandes ce que j’entends par être ta pute au lit, alors que tu caresses mes longs cheveux bruns. Je t’explique qu’au lit, il n’y a rien que j’aime plus que te donner du plaisir en prenant du plaisir et que j’aime certains mots crus, comme celui-là. Tu me dis qu’au lit je serais ta pute si ça me fait plaisir, que toi aussi ça te fait plaisir mais que tu n’as pas envie de quiproquos entre nous. Tu me respectes et ça tu voudrais que j’en sois pleinement consciente. Je le sais et te demande de ne pas t’inquiéter. Je te regarde avec un grand sourire et te demande si tu préfères vraiment parler, car il y a des parties de toi qui semblent plus intéressées par d’autres activités bien plus intenses. Je touche ton sexe qui est encore dur comme un roc et tu frémis, me retournes, me lèches doucement les fesses et insères la pointe de ta langue au milieu d’entre elles. Tu me fais gémir et j’aime beaucoup ta façon de la bouger en moi. Je t’ai demandé si tu avais faim et tu m’as dit avoir un petit creux. Je t’ai demandé où était mon sac et tu m’as dit qu’il était à l’entrée. Je suis allée le chercher et je l’ai ouvert pour en sortir la boîte de fraises au chocolat que j ai ouverte également. Je t’en ai donné une dans la bouche et, après l’avoir mangée, tu as repris tes coups de langue entre mes fesses. J’en ai pris une de la boite et je la mangeais alors que tu continuais à me donner un plaisir fou. Tu as remarqué ce que je faisais et tu m’as dit : « Vraiment ? » 
Je t’ai dit : « Pourquoi ne pas mélanger les plaisirs ? »
Tu me demandes de me tourner et là tu me dis : « Puisque tu as envie de faire ta gourmande, viens ici. »
Tu sors alors une autre fraise de la boîte, la mets sur la pointe de ton sexe puis la retires et il y a du chocolat qui a fondu sur ton gland. Tu me regardes et me dis de lécher, alors je m’exécute. Au bout d’une minute, tu me la donnes dans la bouche et m’embrasses. Tu me demandes si j’ai soif, alors je te dis que oui, te disant que ma bouteille d’eau doit être sur la petite table près de l’entrée, mais je te vois aller à la cuisine et ne pas prendre en compte ce que je t’avais dit. Je profite du temps, seule, pour regarder la pièce. Quand nous étions venus après le cinéma, nous avons surtout passé beaucoup de temps dans ta chambre. Je m’approche de la fenêtre pour regarder la vue que tu as et je me rappelle que je suis nue quand je vois l’une de tes voisines de l’immeuble d’en face me regarder bizarrement. Je m’éloigne de la grande baie vitrée et je vois sur la table, sous la télé, mon string, celui que tu m’avais demandé de garder pendant ton voyage de travail. Je le prends entre mes mains et remarque que tu as éjaculé plusieurs fois sur lui depuis qu’il est en ta possession. Je le prends dans une pochette et le mets dans mon sac. Je retrouve le string avec lequel je suis arrivée chez toi une demi-heure plus tôt et je le mets. Pendant que je l’enfilais, tu es arrivé et tu m’as demandé ce que je faisais. Je t’ai dit que je voulais l’utiliser au maximum pour pouvoir te le laisser à la place de l’autre. Tu t’es approché du meuble TV et tu m’as demandé où il était. Je souris et te dis que je l’ai pris pour le laver ! Tu me donnes une coupe et je remarque que tu nous as servi du mousseux ou du champagne. Il y a des bulles en tout cas ! Tu me dis qu’entre ceci, les fraises et nos corps, on a tout pour passer une journée incroyable et encore plus chaude, au diable le repos et la journée tranquille !

8 commentaires sur “Acte VII : Quand les sentiments se dévoilent aux flammes

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  1. Salut Lady Annia, superbe épisode comme d’habitude. Une histoire douce et sauvage, mélangeant les différents plaisirs. J’aime la manière dont elle décrit le plaisir en elle. Son envie de lui faire plaisirs d’être sa « pute » au lit. On pourrait en général trouver cela vulgaire (pute), mais tu arrive à amener cela de manière érotique et excitante, j’adore.
    Je sens à chaque lecture le plaisir me parcourir (et mon boxer se tendre) ;).
    Merci pour cette belle suite, je suis à chaque fois impatient de te lire.

    1. Cher Orgasmik Boy,

      Je suis heureuse que le plaisir te parcourt quand tu me lis et que tu comprennes le sens que j’ai voulu donner à être sa « pute » au lit, tu as bien raison de ne rien voir de vulgaire dans cet envie, c’est surtout complice.

      Bien à toi,

      Lady Annia

  2. Superbe histoire ! J’aime particulièrement la scène de la visio sur le téléphone qui est le déclencheur de la passion qui suit, malgré les sentiments.

    1. Cher mgillieron80,

      Merci beaucoup !
      Tu as raison, la visio dèclenche les envies, d’un côté et de l’autre. Avoir des sentiments ne rime aucunement avec ennuie…

      Bien à toi,

      Lady Annia

  3. Bonsoir Lady Annia,
    Merci pour cette histoire captivante, une de mes préférés depuis le début.
    Chaque semaine mon petit plaisir est de vous lire.
    On aimerait tous être cet homme qui vous fait mouillé et que vous aimé.

    1. Cher Nicolas,

      Merci à toi de me lire et surtout d’aimer ce que je fais !

      Bien à toi,

      Lady Annia

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par Anders Noren.

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